Marianne Castelly


 

Lorsque je commence une pièce, il n'y pas d'idée préalable mais des gestes, de l'improvisation, de la persévérance et de la confiance dans l'instinct. Il y a tous mes vieux fantômes : des hommes préhistoriques, des peintres fous, des cow- boys du grand ouest. Il y a une envie de couleur très primitive. Il y a en mémoire les enfants que j'aime voir peindre, fougueux et concentrés à la fois. Il y a le jeu et la liberté. Je cherche un langage, une écriture sauvage et intime.

 

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